Alors que le ministre des Affaires étrangères, Adnan Mansour, confirme avoir achevé le projet relatif aux nominations diplomatiques. Des milieux du ministère assurent, pour leur part, que les permutations continuent à faire du sur-place sur fond de querelles politiques et confessionnelles. Le président Michel Sleiman a insisté pour que le statu quo soit maintenu au niveau de la répartition communautaire des postes pour éviter une éventuelle pagaille. Cependant, des composantes du 8 mars tiennent à nommer des ambassadeurs de leur propre camp, à Madrid à titre d’exemple, ainsi que d’autres qui ne sont pas cadrés.