En catimini

L’EDL: suite
Les journaliers de l’EDL pourraient reprendre leur sit-in, chuchote-t-on dans les milieux ouvriers, étant donné que l’accord qui avait mis fin à leur mouvement, selon une formule concoctée par le ministre du Travail, Salim Jreissati, avec les propriétaires des compagnies de collecte et de maintenance, n’a pas été respecté. Celles-ci ont intégré les employés compétents, alors que les autres doivent passer par un processus qui reste à discuter. Les responsables cherchent à éviter la répétition du scénario passé, d’ailleurs la commission de suivi a été prévenue qu’un retour au sit-in était interdit. Les milieux de l’EDL révèlent que le retard pris sur la collecte risque de déclencher la colère des usagers qui vont recevoir en une fois des factures cumulées sur plusieurs mois. L’institution étudie les moyens d’anticiper ce problème.