Les travailleurs sociaux mettent la prolifération des cellulaires et le trafic de puces téléphoniques dans les prisons sur le compte de la corruption. Les pots de vin et l’appât du gain facilitent l’introduction de ces objets à l’intérieur des 4 murs, ce qui permet à certains prisonniers de mettre en danger la sécurité de leurs gardiens.