Rim el-Jundi
Family tree
Jusqu’au 31 octobre à la galerie Janine Rubeiz.
Rim el-Jundi nous présente là des arbres généalogiques et des portraits de famille. Sa famille d’abord, mais aussi la famille orientale dont elle fait partie. Ses arbres généalogiques racontent l’histoire de sa famille basée sur celle de trois hommes, les hommes de sa vie. D’abord son grand-père, actif pendant l’Empire ottoman, qui a défendu la révolution arabe jusqu’à la mort, ensuite son père, combattant qui a également perdu la vie et son fils, qui vit à New York et ne parle pas l’arabe. Rim el-Jundi exprime à travers ses œuvres sa relation ambiguë avec le Liban « une appartenance viscérale à cette terre et un désir puissant de la quitter ». Rim el-Jundi est née en 1965 à Beyrouth. Elle a étudié les beaux-arts à la LAU et a participé à différentes expositions collectives. Elle a également à son actif plusieurs expositions personnelles au Liban, aux Etats-Unis et au Koweït. En 1991, l’ensemble de son travail est récompensé par le prix Cheikh Zayed en 1991. Une exposition intéressante!
Ardziv
Dream of a soul
Jusqu’au 31 octobre à la galerie Matossian.
De son vrai nom Lucy Posshoghlian, Ardziv, qui veut dire «aigle» en arménien, a un style d’expression très particulier. Elle est très influencée par l’art moderne mais a une façon bien à elle d’utiliser et de mélanger les couleurs. Elle n’hésite pas à utiliser une palette vive et gaie. L’orange, le rouge, le bleu et le vert sont prédominants dans ses toiles. Le résultat: des tableaux très joyeux. Ardziv a exposé aux Etats-Unis, en France et au Liban. Son œuvre a été saluée par les critiques d’art du monde entier et récompensée par de nombreux prix, dont le «Best Foreign Young Artist» et le «Best Color and Best Idea».
Christianne Tager Deslandes
Agenda
Rima Maroun. Ether.
Jusqu’au 27 octobre à l’Institut Français.
Sandro Sanna. Dinamismo Satatico.
Jusqu’au 27 octobre à la galerie Pièce Unique.
Nizar Osman.The red in black. Peintures.
Jusqu’au 31 octobre à la galerie Zamaan.
Nayla Arida et Raissa Traboulsi. Animanimalism. Bijoux.
Jusqu’au 27 octobre à la galerie Dehab.
White wall. Graffiti street art. Graffitis.
Jusqu’au 3 novembre au Beirut Art Center.
Khalil Saleeby. Peintures.
Jusqu’au 30 novembre à l’AUB Art Gallery.
Gabriel Kuri. Peintures.
Jusqu’au 17 novembre à la galerie Sfeir-Semler.
Fadia Haddad. Chemin des masques. Peintures.
Jusqu’au 27 octobre à la galerie Agial.
Thirty years.
Jusqu’au 30 novembre à la galerie Epreuve d’artiste.
Clément Tannoury. Le Liban vu du ciel.
Jusqu’au 15 novembre à la Villa Audi.