Violentes critiques
Des observateurs ont remarqué que l’Iran a violemment dénoncé un journaliste chiite qui, à ce jour, avait tenté de rester à égale distance entre la majorité chiite pro Hezbollah-Amal et une minorité accusée de coopération avec les Etats-Unis.
Tension provoquée
Afin de maintenir une tension politique favorable aux manigances de leurs pays, plusieurs diplomates arabes et occidentaux auraient fait parvenir, depuis quelques mois, de fausses informations sécuritaires à plusieurs députés leur confirmant qu’ils étaient menacés.
Tentative d’isolement
Selon un expert militaire, en prenant le contrôle du village de Joussé aux limites de la Békaa-Nord, l’armée syrienne tente de couper la route entre Ersal et Homs via le village de Kousair. Joussé serait dotée d’un réseau de tunnels et de passages reliant les deux côtés de la frontière.
Erdogan mécontent
D’éminents représentants de pays du Golfe racontent que le Premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, se plaint d’avoir été trompé par des parties arabes et internationales. Ils ajoutent qu’il n’est pas impossible que les services de renseignements turcs aient, eux aussi, trompé leur Premier ministre.
Rôle controversé
Des dignitaires sunnites, aussi bien du 14 que du 8 mars, se sont érigés contre le rôle du Dr Samir Geagea, qui se positionne en tant que meneur des sunnites. Ils mettent en garde leurs coreligionnaires tentés de l’écouter leur expliquant que le but final du chef des FL est de provoquer une fitna sunnite chiite.
Dérision
Des journalistes syriens tournent en dérision certains analystes libanais qui avaient, dès le début des troubles en Syrie, assuré que «l’affaire était terminée!». Les réseaux sociaux ont rapidement transformé le slogan en «la Syrie est “achevée” mais la crise demeure».