Jusqu’au 12 janvier à la galerie Agial.
Bernard Ghanem est né en 1963 au Liban. Tout petit, Bernard avait déjà un don pour la transformation des matières premières et des déchets en jeux. Il a développé un talent nourri par sa sensibilité et sa capacité naturelle à créer des œuvres d’art à partir de matériaux ordinaires. Cette exposition est «un défi de créer un équilibre dans notre vie actuelle, une invitation au-delà d’un monde plein de besoins», explique Bernard Ghanem. «J’espère qu’un jour, la simplicité va montrer la voie comme un exemple de ce que la société peut atteindre et devrait s’efforcer d’atteindre. Ensuite, notre satisfaction sera d’avoir moins pas plus», poursuit-il.
Christiane Tager Deslandes
Emeric Lhuisset
Théâtre de guerre
Jusqu’au 10 janvier à la galerie The Running Horse.
«L’image n’est plus forcément vérité, mais elle devient icône». Emeric Lhuisset pose cette question de la mise en scène face au réel. L’artiste nous invite, à travers ses photos, à repenser la guerre dans ses représentations ou dans le Théâtre de guerre. Lhuisset est un artiste visuel, spécialiste des relations entre l’art contemporain et la géopolitique. Il est aussi enseignant à Sciences Po-Paris. C’est un artiste pluridisciplinaire qui voyage souvent dans des zones de conflit pour réaliser des œuvres qui illustrent la relation entre l’art contemporain et la géopolitique. Entre 2011 et 2012, il a vécu et travaillé avec un groupe de guérilléros iraniens kurdes dans leur camp d’entraînement secret. Le résultat, une série de photographies où les combattants prennent des poses de scènes de combat inspirées de représentations de la guerre franco-prussienne.
Christiane Tager Deslandes
Agenda
Leila Jabre Jureidini. Fragments.
Jusqu’au 28 décembre à la galerie Janine Rubeiz.
Rana Raouda.Thirty Years Walking With Light.
Jusqu’au 29 décembre au Art on 56th.
Mouna Bassili Sehnaoui.
L’Orient intérieur.
Jusqu’au 31 décembre à la galerie Aïda Cherfane.
Rima Saab. Vanishing Impressions.
Jusqu’au 15 janvier à la galerie Kettaneh-Kunigk.
David Hury. Sept jours parmi les anges.
Jusqu’au 5 janvier à l’Institut français.