D’anciens députés, qui avaient participé à Taëf, relèvent plusieurs obstacles constitutionnels à la mise sur pied d’un Sénat. Une telle démarche devrait être précédée par la création d’un Comité national pour l’abolition du confessionnalisme et par l’élection d’un premier Parlement sur des bases non confessionnelles. La société libanaise ne semble pas encore prête à cela.