Toufayli, persona non grata
Des sources locales ont confirmé que le cheikh Soubhi Toufayli, ancien secrétaire général du Hezbollah, a été mis à la porte par une famille de Brital à qui il venait présenter ses condoléances. Toufayli ne cesse de critiquer l’actuel commandement du Hezbollah sans ménager les susceptibilités des habitants de son village.
Pas du goût de tous
Le raid aérien israélien contre Damas, qui a ébranlé la sécurité et la paix au double niveau régional et international, n’a pas fait l’unanimité au Secrétariat à la Défense américain, selon des diplomates occidentaux. C’est l’un de ses responsables qui a révélé le raid et souligné la responsabilité d’Israël dans cette affaire, alors qu’un haut responsable américain se trouvait à Tel-Aviv où avait lieu la synchronisation de l’opération.
Dignitaire pessimiste
Un dignitaire religieux qui affichait une tendance à l’optimisme confie avoir révisé son approche de la conjoncture locale. «Il semble que le pays se dirige vers le vide exécutif et législatif», a-t-il dit.
Doha périmé
Le député Nouhad Machnouk a provoqué une sorte de séisme dans les rangs du 8 mars, lorsqu’il a dit que «les conséquences du 7 mai ne sont plus de rigueur. Il n’y aura plus de cabinet inspiré des accords de Doha».
La Fatca au Liban
Le secteur bancaire s’active pour appliquer une loi américaine qui doit entrer en vigueur en juin. Cette loi, appelée Fatca, exige que les banques étrangères communiquent au Trésor américain, le nom de leurs clients américains ou résidant aux Etats-Unis pour les amener à régler l’impôt sur le revenu.
Portraits géants
Les bâtiments illégaux dont la multiplication a entraîné des accrochages armés dans la région de Beddaoui entre les forces de l’ordre et des habitants, affichaient sur leurs façades des portraits géants du général Achraf Rifi.