Le président Amine Gemayel s’est démarqué de la position du 14 mars, qui refuse la participation du Hezbollah au nouveau gouvernement, en affirmant qu’on ne peut parvenir à des décisions nationales souveraines sans un consensus incluant tous les acteurs politiques du pays. Tout accord qui ne bénéficie pas de l’unanimité restera fragile, a-t-il conclu.