«Le nom d’Ahmad el-Assir n’est qu’un détail dans la triste réalité que nous vivons et qui résulte des armes du Hezbollah, parce que s’il n’y a pas d’Ahmad el-Assir, il y aura quelqu’un d’autre. Mais nous rejetons le projet de celui-ci parce qu’il ne s’agit que d’une suite au projet d’effritement de l’Etat que le Hezbollah a entamé. L’extrémisme appelle l’extrémisme et à l’extrémisme du Hezbollah répondra un autre extrémisme»
Moustafa Allouche, membre du bureau politique du Courant du futur
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