Les mafias s’activent dans les milieux des réfugiés syriens. Les bons, donnant droit à du lait en poudre, distribués par des pays du Golfe aux déplacés, font l’objet d’un commerce douteux. Des quantités de lait sont ainsi acheminées en Syrie et revendues à des prix élevés, alors que la marge de bénéfice du commerçant libanais est minime.