Le ministre des Affaires étrangères, Adnan Mansour, a injustement été critiqué pour avoir accepté la participation du Liban à Genève II, cédant ainsi aux pressions d’une puissance étrangère, selon ses détracteurs. Cependant, la déclaration du président Najib Mikati confirmant la présence du Liban à ce congrès a fait taire les mauvaises langues.