Libanais morts en Syrie
La réaction des parents des combattants libanais morts au cours de combats contre l’armée du régime aux alentours du Crack des Chevaliers, entre Homs et Tartous, est sous observation de la part d’une source internationale. Le silence qui règne est dû au fait que les dépouilles n’ont pas encore été livrées, estime une source.
Un fier tueur
Plusieurs pages sur les réseaux sociaux insistent sur la nécessité de condamner à mort toute personne qui ose attaquer l’armée, où qu’elle soit. Les voix se sont élevées après la diffusion d’un entretien avec Fadl Chaker, dans lequel il se dit fier d’avoir tué deux soldats.
Dahié veut des compensations
Les conséquences socioéconomiques des explosions qui ont eu lieu dans la banlieue sud commencent à se manifester. Des boutiques ont baissé leurs rideaux et les commerçants réclament une compensation à l’instar de toutes les victimes des attentats terroristes.
Femmes et lutte antiterroriste
Le rôle des femmes, qui apportent un soutien logistique aux combattants radicaux dans plus d’une région libanaise, embrouille les programmes de la lutte antiterroriste, comme l’avancent des rapports locaux.
Avions syriens
Les avions de combat syriens ont pourchassé les éléments armés jusqu’à Wadi el-Khayl opposé au village de Younine dans le nord de la Békaa et jusqu’à Wadi Ajram attenant au jurd de Ersal, selon une source de la Békaa.
Impunité au palais de justice
Aucune mesure disciplinaire ou pénale n’a été prise à l’encontre d’un fonctionnaire au palais de justice qui a subtilisé, l’an dernier, des sommes provenant des cautions versées par les prévenus, affirment des juristes.