Henri Sfeir, politicien, écrivain et journaliste, a récemment signé son premier roman Achnar, en présence notamment de l’auteur, du recteur de l’Université Saint-Joseph (USJ), le père Salim Daccache, ainsi que du ministre Sejaan Azzi et de l’ancien ministre Elie Ferzli qui ont tous prononcé des allocutions pour l’occasion.
La cérémonie a eu lieu au campus des Sciences humaines de l’USJ, avec la collaboration de Nawfal, la maison d’édition pour la langue arabe de Hachette-Antoine.
Le père Daccache s.j. a souhaité, dans son mot, la bienvenue à «cet architecte écrivain, ce sage à la recherche de la vérité absolue avec Achnar, le Phénicien, qui nous mène dans son long voyage par Byblos, la fierté des villes phéniciennes, Athènes, la capitale grecque et la ville des philosophes et des sages, et la fameuse Babel».
Sejaan Azzi a indiqué avoir lu le roman «avec l’objectivité de tout lecteur et l’amour d’un ami, la richesse d’un écrivain et il en est sorti que ce roman, Achnar, a atteint l’objectif que s’était donné son auteur».
Achnar est un roman de 184 pages dans lequel Sfeir recherche des réponses sur l’amour, la liberté, la vérité, l’existence en passant par les grands philosophes grecs. Ce roman relate l’histoire du prince de Byblos qui quitte sa principauté à la recherche de cet absolu qui le mène jusqu’à Babel.
Les revenus d’Achnar seront versés à la caisse des bourses de l’USJ.
Nº 2952 du vendredi 6 juin 2014
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