Les rumeurs sur la sortie des investisseurs arabes du secteur de l’immobilier au Liban ne sont pas confirmées par le milieu des affaires. Il s’agirait d’une 2e vague de désertion des capitaux arabes en l’espace de trois ans. Si ce mouvement se confirme, il ne faut pas oublier qu’il existe une vague contraire venue de Syrie et d’Irak.