Le dialogue ne peut pas aboutir à un rapprochement des points de vue sur le dossier présidentiel. Tant qu’il n’y a pas une avancée réelle au niveau régional, les divers courants libanais ne s’accorderont pas sur un candidat, analyse une source politique du 8 mars.
Le dialogue, explique-t-elle, peut créer un climat interne qui facilite les ententes extérieures lorsque sonnera l’heure des échéances. Les divers dialogues ont en fait pour but de préparer la scène politique interne en prévision des règlements scellés à l’extérieur, surtout entre l’Iran et l’Arabie. En tout cas, quels que soient les compromis à l’extérieur, la seule porte d’entrée vers un règlement en matière présidentielle passe par une initiative envers le général Michel Aoun, conclut la source.
Nº 2980 du vendredi 19 décembre 2014
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