Nous disposons d’un délai de deux mois pour produire un président de la République, explique une instance chrétienne. Si nous en sommes incapables, le Liban baignera alors dans une crise plus grave que celle du vide institutionnel: celle du régime. C’est pourquoi les contacts en cours, loin du tapage médiatique, s’intensifient pour éviter d’en arriver là.