Crise financière aiguë pour les responsables de la sécurité d’une haute instance politique. Inscrits dans le cadre d’une société de sécurité privée, ils n’ont pas reçu leurs salaires depuis des mois, contraints à se contenter d’un acompte sans savoir ce que leur réserve l’avenir… d’autant plus que la personnalité est hors du Liban.