Prisonniers libanais en Syrie
L’information véhiculée par le chef des Forces libanaises, le Dr Samir Geagea, lors d’un talk-show télévisé, concernant la détention du responsable Kataëb Boutros Khawand et de quatre autres Libanais, dont un de la famille Nasr, par Daech après la chute de Palmyre, où se trouve la prison centrale, a suscité un intérêt politique et populaire. Boutros Khawand avait été enlevé il y a 22 ans, à Furn el Chebbak. Son sort est depuis inconnu.
Le pouvoir à tout prix
L’ex-ministre, Mohammad Abdel-Hamid Beydoun, estime que la rencontre entre sayyed Hassan Nasrallah et le général Michel Aoun «a pour but l’accession à la présidence à tout prix du chef du CPL». Beydoun a considéré que «le nombre de chiites qui appuient le Hezbollah ne dépasse pas les 25%, alors que 10% soutiennent Nabih Berry, contre 65% qui sont opposés au comportement du tandem Amal-Hezbollah».
Un Conseil national sans prérogatives
Le lancement du Conseil national de la coalition du 14 mars et l’élection de son président sont prévus pour la mi-juin sans que cela suscite un grand intérêt politique ou médiatique. Après le retrait des grands partis de cette structure, ce conseil national ne regroupe plus que les personnalités indépendantes du 14 mars. De plus, le conseil ne jouit d’aucune prérogative décisionnelle ou même consultative… son rôle ne sera que folklorique ou honorifique.