«Aucune de nos prises de position ne leur plaît, même s’il s’agit du point de vue le plus noble du monde. Nous entendons aujourd’hui le 14 mars affirmer qu’il est pour l’Etat et ses institutions. Mais, en réalité, s’il fallait donner le prix Nobel de la paralysie des institutions, c’est à ce camp qu’il reviendrait».
Le cheikh Naïm Kassem, secrétaire général adjoint du Hezbollah
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