Aides internationales
Contribution de 1,3% au PIB
A la demande conjointe du Pnud et de l’UNHCR, une étude a été menée pour mesurer l’impact des aides internationales fournies au Liban pour alléger les incidences de la présence des réfugiés syriens. Les conclusions de cette étude montrent que l’injection dans l’économie nationale de près de 800 millions de dollars d’aides aux réfugiés syriens en 2014 s’est reflétée par une croissance additionnelle de 1,3% du PIB. La répartition sectorielle des dépenses des aides consenties s’est faite comme suit: produits alimentaires (27%), loyers (14%), produits pharmaceutiques (9%), éducation (7%), transport (5%) et santé (5%).
Cherté de vie
Beyrouth 3e après Dubaï et Abou Dhabi
Le consultant Mercer a classé Beyrouth à la troisième position en termes de cherté de vie parmi 16 villes arabes et 44e parmi 207 villes à une échelle mondiale. En 2014, la capitale libanaise avait occupé la tête du peloton sur le plan régional, rappelle-t-on. L’enquête, menée en mars 2015, a mesuré le prix comparé de plus de 200 produits, tels les coûts du logement, de l’alimentation, des vêtements, des équipements ménagers, du transport et des loisirs. La ville de référence est New York City. Ainsi, le coût de vie à Beyrouth est plus élevé qu’à Bangkok, Paris et Melbourne, mais il est inférieur à ceux de Taipei, Chicago et Brazzaville au Congo. La capitale libanaise est classée derrière Dubaï et Abou Dhabi.