Les mises en garde du ministre des Finances, Ali Hassan Khalil, semblent tomber dans des oreilles de sourds. Khalil a prévenu que des institutions internationales et des gouvernements pourraient priver le Liban de subventions et de dons qui lui avaient été alloués. C’est pourquoi il a insisté sur la nécessité d’ouvrir le Parlement pour définir l’usage de ces fonds.