Sleiman Frangié a dévoilé les contours de l’équilibre politique dans le prochain régime libanais. Le nouveau président, dit-il, ne doit être ni centriste ni consensuel, mais représentatif d’une majorité chrétienne. Il a ajouté que si le chef du gouvernement était issu du 14 mars, le président de la République devait être du 8 mars.