Plus de 120 institutions, s’occupant des affaires sociales, prenant en charge les soins de près de 40 000 enfants qui ont des besoins urgents à Tripoli, risquent d’arrêter leur service, n’ayant reçu aucune allocation de l’Etat depuis le début de l’année. Le ministère des Affaires sociales cherche une solution, alors que celui des Finances affirme avoir envoyé le décret concernant cette affaire au Conseil des ministres en juin dernier.