Selon les informations qu’il détient, l’ex-ministre de la Défense, Albert Mansour, rapporte que l’aide saoudienne consentie à l’armée était conditionnée par la reconduction du mandat du président de la République, Michel Sleiman, et par le retour de Saad Hariri à la tête du gouvernement. Les conditions n’ayant pas été remplies, l’aide a été suspendue.