«L’élection d’un président de la République au Liban n’aura pas lieu à la prochaine séance qui lui est consacrée au début de l’année prochaine, avant qu’il n’y ait un accord sur un ensemble d’échéances et de compromis politiques dont celui portant sur une loi électorale moderne basée sur la proportionnelle».
Haytham Abou Saïd, secrétaire général de l’Organisation européenne de sécurité et de renseignements.
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