Charles Khoury
Œuvres récentes
Jusqu’au 18 mars, à la galerie Janine Rubeiz.
Les œuvres de Charles Khoury sont hautes en couleur. Sa palette est vive et son coup de pinceau magique. Les objets qu’il représente ne sont pas réels, mais s’apparentent fortement à la réalité. «Charles Khoury voulait réconcilier l’homme avec l’animal dans son royaume artistique. Engagé aux rituels picturaux, l’artiste rajeunit le mystère primitif de l’esthétique. Son labeur créatif invoque les êtres zoomorphes de l’Egypte antique, garde le secret de peintures rupestres des aborigènes australiens».
Charles Khoury est né en 1966. Il est diplômé en lithographie de l’Académie libanaise des beaux-arts. Depuis 1989, il participe à des expositions collectives au Liban, notamment dans le cadre de Harvest, de la Foire internationale des arts décoratifs et du Salon d’automne du musée Sursock. Il a participé également aux biennales d’Asie en 1996, d’Alexandrie en 2001 et du Caire en 2003. Il a exposé individuellement à Beyrouth et à Paris. Il a gagné le prix du Salon d’automne du musée Sursock en 2008.
C.T.D.
Fatat Bahmad et Louma Rabah
True colors
Jusqu’au 12 mars, à la galerie Artspace.
A travers cette exposition, Fatat Bahmad et Louma Rabah ont instauré un dialogue de couleurs et de mouvements qui force les visiteurs à porter un autre regard sur des choses banales et simples. Les deux artistes au talent certain combinent des couleurs inhabituelles à des espaces repensés. Ces visions fantaisistes de la campagne ou de la ville sont affectives et regorgent de paix et de sérénité. D’une manière très habile, les deux artistes apportent leurs véritables couleurs pour partager leur expérience d’un lieu. Une exposition intéressante qui vaut bien le détour.
C.T.D.
Agenda
Omar Fakhoury. Rehearsals for a setting.
Jusqu’au 5 mars, à la galerie Agial.
Serge Najjar. Par-delà l’ordinaire.
Jusqu’au 31 mars, à la galerie Tanit.
Marwan Rechmaoui. Fortress in a corner, bishop takes over.
Jusqu’au 7 mai, à la galerie Sfeir-Semler.
Nadim Karam. Stretching thoughts.
Jusqu’au 2 avril, à la galerie Ayyam.
Michel Zoghzoghi. It is their planet too.
Jusqu’au 21 mai à la Galerie The alternative.