La mort de l’enfant Céline Rakan, il y a près de 2 ans, revient sur le tapis. L’employée de maison éthiopienne, accusée de meurtre et qui avait avoué son crime, est revenue sur ses déclarations, affirmant que la petite n’avait pas une bonne constitution. Elle accuse le père de harcèlement sexuel et d’avoir une seconde femme et une autre fille. Des propos démentis par le père et son avocat. L’affaire est remise au 23 juin.