Requiem pour le 8 et le 14 mars
Lorsque le président Nabih Berry a annoncé la mort des deux coalitions du 8 et du 14 mars, il s’est basé sur les données suivantes:
♦ Les dissensions internes dans les deux camps au sujet de l’échéance présidentielle.
♦ La division entre les composantes du 8 mars quant à leur participation aux séances parlementaires.
♦ L’absence de réunions élargies au niveau des leaders des deux factions, en dépit des circonstances politiques complexes qui nécessitent des consultations permanentes.
♦ Le manque de coordination au chapitre des élections syndicales où les partis ont accordé leur soutien à certains candidats ou listes en faisant fi de la solidarité avec les alliés.
L’approche a été similaire au niveau municipal.