Toiles récentes
Jusqu’au 30 juillet, à la galerie Saleh Barakat.
Pour le 25e anniversaire de la galerie Agial, Saleh Barakat a lancé un nouvel espace, Saleh Barakat Gallery, situé à la rue Clemenceau. Il y présente les toiles de l’artiste libanais Nabil Nahas installé à New York. L’olivier, le palmier et le cèdre, symboles importants de son pays, constituent une partie importante du travail de l’artiste. Ce dernier est influencé par le modernisme européen, ainsi que par l’art islamique.
Nabil Nahas est né en 1949 à Beyrouth. Il passe son enfance au Caire. Il s’envole ensuite pour les Etats-Unis où il obtient son diplôme en beaux-arts de la Louisiana State University à Baton Rouge en 1971 et une maîtrise de l’université de Yale en 1973.
Ses rencontres avec des peintres contemporains à Yale poussent Nahas à déménager à New York. Depuis, il expose régulièrement dans d’importantes galeries de New York. A voir.
Houmam el-Sayed
Futile
Jusqu’au 9 juillet, à la galerie Agial.
L’artiste syrien Houmam el-Sayed représente, avec beaucoup de joie, des souvenirs et des moments spéciaux appartenant à son passé. Dans cette exposition, il aborde également, de manière dissimulée, l’oppression.
Né en Syrie en 1981, Houmam el-Sayed a étudié la sculpture à Damas. Puis il s’est orienté vers des peintures figuratives de grande taille. Il a réalisé sa première exposition à l’âge de 17 ans, en Syrie, et a, depuis, exposé dans divers pays du monde arabe et en Europe.
Christianne Tager Deslandes
Agenda
Yoko Fukushima.
Endless tales.
Jusqu’au 29 juillet, à la galerie Alice Mogabgab, Black box.
Exposition collective.
The arab nude: The artist as awakener.
Jusqu’au 1er août, à la galerie Rose and Shaheen Saleeby. AUB.
Exposition collective.
Esma’. Listen.
Jusqu’au 21 août, au Beirut Art Center.
Yto Barrada.
Faux guide.
Jusqu’au 26 août, à la galerie Sfeir-Semler.
Nadim Asfar.
Where I end and you begin.
Jusqu’au 5 août, à la galerie Tanit.
Fouad Debbas.
Dans les nuages.
Jusqu’au 1er août, au musée Sursock.
Ali Cherri.
Une taxonomie fallacieuse: la vie d’objets morts.
Jusqu’au 1er août, au musée Sursock.