«Le général Michel Aoun n’a aucune chance de devenir président de la République, et ce, pour des raisons relatives à la situation régionale, même s’il a le droit d’ambitionner ce poste. Personne ne soutient Aoun pour la présidence à part lui-même. Ce n’est pas Aoun le maronite qui pose problème, mais Aoun l’Iranien».
Farès Souhaid, secrétaire général du 14 mars
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