«Nous savons tous que si l’Arabie saoudite libérait le Courant du futur, il deviendrait possible d’élire Michel Aoun, qui jouit de l’unanimité nationale, à la présidence de la République, mais elle veut un président qui soit simple employé chez elle comme c’était le cas auparavant».
Nawwaf Moussaoui, député du Hezbollah
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