«Sayyed Hassan Nasrallah demande la réconciliation avec Daech et distribue déjà les postes au Liban. Il nommera un président de la République et un chef du Parlement, mais sera plus souple sur la désignation du chef du gouvernement. Pour lui, c’est comme si la Constitution et la loi étaient suspendues, ainsi que les résultats des élections législatives».
Farès Souhaid, ancien député
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