Le ministère des Finances aurait besoin de 7,9 milliards $ pour couvrir ses obligations venant à échéance en 2018 alors que la solvabilité de la Banque du Liban (BDL) contribue à baisser le coût de l’endettement de l’Etat, croit savoir l’économiste Jasem Ajaka, ancien conseiller du ministre Alain Hakim. Le souhait du Premier ministre, Saad Hariri, de prendre un temps de réflexion a bénéficié au Liban sur un plan monétaire mais pas en croissance.