«Le pays a touché le fond en matière de décadence, et cela transparaît dans le divorce prononcé entre le principe de constitutionnalité et celui de la légitimité. Il existe un semblant d’Etat qui ne respecte pas la Constitution, ni les institutions ni les lois. Il n’y a pas d’échappatoire quant à la tenue d’une assemblée constituante parce que l’élément majeur aujourd’hui, grand absent du débat politique, représente la dimension libanaise du conflit actuel».
Talal Arslan, député et président du Parti démocratique libanais
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