Campagne douteuse
Selon une source, la campagne anti-Hezbollah, que David Hale, ambassadeur des Etats-Unis, a menée, n’est qu’une manœuvre dont le but est de tranquilliser certains alliés qui ont entendu des informations «peu satisfaisantes» sur les développements dans les coulisses diplomatiques. Les «alliés» ont peur, estime la source.
Clientélisme à la faculté
Certains étudiants rendent une instance politique responsable de la paralysie d’une faculté de l’Université libanaise (UL) à Tripoli. Les motifs invoqués par cette personnalité sont loin d’être d’ordre pédagogique ou scientifique, tout ce qu’elle veut c’est placer l’un de ses amis à la direction de la faculté.
Force arabe commune
Des sources arabes diplomatiques écartent la formation d’une force multinationale pour lutter contre le terrorisme. Le Liban devrait plutôt focaliser sur la proposition soutenue par Riyad et Le Caire, de la mise sur pied d’une force arabe commune capable d’agir efficacement sur la scène arabe.
Plan de sécurité à Dahié
La banlieue sud se prépare à l’accueil du plan de sécurité. Les citoyens racontent que tous les prévenus et contrevenants se sentent menacés parce qu’ils ne bénéficient plus d’aucune couverture.
Candidat et consultant
Plus d’un acteur politique issu de diverses tendances se réfèrent à l’un des principaux candidats à la présidence pour le consulter sur les dossiers qui font débat. Les sources qui véhiculent l’information estiment que ce candidat s’est transformé à lui seul en «conseil consultatif».
Retour aux assassinats
A la suite d’informations issues de services de renseignements locaux et étrangers qui lui sont parvenues, le ministre de la Justice, Achraf Rifi, a révélé à Al-Chark el-awsat, l’existence de menaces d’assassinats contre quatre personnalités: lui-même, Waël Abou Faour, Ahmad Fatfat et Mouïn Merhebi.