«Le Liban et l’Irak sont soumis, d’une façon ou d’une autre, à la volonté de Téhéran et à ses idées. L’Iran est en mesure de contrôler les révolutions (arabes) afin de les orienter vers l’ennemi. Une telle possibilité est présente
en Jordanie».
Propos attribués au commandant de la brigade al-Qods, Qassem Souleimani, démentis par un communiqué des Gardiens de la Révolution iranienne.
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