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Salam pointe les forces politiques
Réagissant à l’initiative proposée par le général Michel Aoun, le Premier ministre, Tammam Salam, a dit sans nommer le chef du CPL: «Le comportement des forces politiques laisse supposer que la situation va dans le sens d’un plus grand blocage», refusant les thèses qui accusent les accords de Taëf d’être à l’origine de la crise. «Ce n’est pas la Constitution qui est responsable de cet état de choses, ce sont les forces politiques», a-t-il ajouté.


Talal Arslan contrarié
Le député Talal Arslan est fort contrarié d’être tenu à l’écart du centre de décision du 8 mars. Les consultations qui ont lieu au sein de cette coalition restent limitées à sayyed Hassan Nasrallah, Nabih Berry, Michel Aoun et Sleiman Frangié (le Hezbollah a tenu à dépêcher une délégation composée de Hussein Khalil et Wafic Safa pour communiquer à Frangié les résultats de la rencontre Nasrallah-Aoun).


Velayati: «L’accord sur le nucléaire sera signé»
Sayyed Hassan Nasrallah a posé une question à Ali Akbar Velayati, le conseiller de l’ayatollah Ali Khamenei – qu’il a rencontré lors de sa visite à Beyrouth -, relative au sort des négociations avec l’Occident et à l’avenir de l’accord sur le nucléaire. Le climat est positif, a répondu Velayati, prévoyant la signature de l’accord à la date prévue.