Joseph Harb
Under construction.
Jusqu’au 26 avril, à la galerie Janine Rubeiz.
Pour cette exposition au titre étrange, Under construction, l’artiste utilise plusieurs techniques, de l’acrylique, ainsi que des techniques mixtes, du collage, des médiums, des enduits. Pourquoi ce titre? «C’est le titre qui exprime parfaitement l’essence du travail exposé et ma démarche en tant qu’artiste et individu, moi, ‘Joseph Harb’. En effet, ma production artistique est en perpétuelle mutation. J’essaie sans cesse de changer la forme et de créer de nouveaux univers. Une construction qui ne finit jamais!», raconte le peintre. Joseph Harb peint avec spontanéité et ne planifie rien. «C’est au cours du travail que les formes et les couleurs commencent à prendre forme», explique-t-il. Joseph Harb est né au Liban en 1964. Il est diplômé en beaux-arts de l’Université libanaise. Il expose au Liban depuis 1987 et régulièrement au Salon d’automne du musée Sursock. Une exposition intéressante!
C.T.D.
Reem Yassouf
Child’s Message
Jusqu’au 3 mai, à la galerie Art on 56th.
Des dégradés de blanc et de gris, de fortes ombres qui côtoient des portraits aux figures indéfinies, tel est le travail de Reem Yassouf. Ses œuvres sont éthérées, mais foisonnent de mille et une émotions. Des souvenirs de guerre, des sentiments d’enfants… Cette talentueuse artiste est syrienne. Elle est née en 1979 à Damas. Yassouf a étudié à la faculté des beaux-arts de Damas. Elle a déjà à son actif des expositions en Syrie, en Jordanie, au Liban et à Londres. En 2010, elle a reçu le certificat d’honneur pour les arts plastiques et le design de joaillerie du World Innovation Center.
C.T.D.
Agenda
Georges Daoud Corm. 1896-1971: Lebanese Painterly Humanism.
Jusqu’au 19 avril, à la galerie de l’AUB.
Mounira Al Solh.
Jusqu’au 22 juillet, à la galerie Sfeir-Semler.
Labyrinth.
Jusqu’au 20 avril, à la galerie Mark Hachem.
The age of bronze.
Jusqu’au 31 mai, à la galerie Maqam.
Oussama Baalbaki. Shadows of Gloominess.
Jusqu’au 26 avril, à la galerie Tanit.
Missak Terzian. Timeless dream.
Jusqu’au 21 avril, à la galerie Hamazkayin.