«En faisant de la candidature de Samir Geagea, chef des Forces libanaises, à la présidentielle un repoussoir signifie que le patriarche maronite a été victime d’une tromperie politique. Au cours des réunions de Bkerké, il a été convenu que les quatre pôles maronites sont des candidats naturels à la présidence. Comment une telle idée s’est-elle transformée en un rejet total de la candidature de Geagea?».
Antoine Zahra, député des Forces libanaises
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