Contacts fébriles pour la présidentielle
L’échéance présidentielle semble mobiliser plus d’un responsable dans les capitales occidentales. Ainsi, plusieurs diplomates débarquent à Beyrouth, en toute discrétion, pour mener des contacts avec les protagonistes locaux et connaître leur opinion sur ce dossier. Les visiteurs étrangers insistent sur la nécessité d’éviter le vide au niveau de la plus haute institution de l’Etat et d’organiser l’élection présidentielle dans les délais prévus par la loi. Pour ce qui est du profil du futur n°1, on parle d’une personnalité modérée bénéficiant des qualités du président Michel Sleiman, c’est-à-dire qui sait se distancer des alignements politiques.
Nº 2922 du vendredi 8 novembre 2013
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