«Le président Nabih Berry a voulu, par sa décision de remettre la séance législative, dite de nécessité, une solution au problème existant. Les anciennes expériences concernant les études des lois électorales ne sont pas encourageantes (…) Les 8 et 14 mars sont dans une situation qui va au-delà de la mort clinique».
Farid Makari, vice-président du Parlement
Sans commentaire