«Le Hezbollah a assassiné Rafic Hariri et Wissam el-Hassan. Nous en possédons des preuves. L’assassin de tous les martyrs du 14 mars n’est autre que le Hezbollah. L’intérêt national exige un dialogue avec lui, mais cette communication ne peut régler que des problèmes tactiques, et non pas stratégiques. Michel Aoun et Sleiman Frangié n’accéderont pas à la présidence de la République. Aoun n’est pas un candidat sérieux du Hezbollah, mais un instrument de blocage».
Achraf Rifi, ministre démissionnaire de la Justice
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