Suspension de la nomination des nouveaux mohafez, après que des forces de la majorité, notamment les composantes du Bloc du Changement et de la Réforme eurent contesté la désignation de Ali Hamad comme mohafez du Mont-Liban, poste occupé par intérim par celui de la Békaa, Antoine Sleiman. Le général Michel Aoun réclame le recours au Conseil de la Fonction publique et l’application du mécanisme adopté à cet égard. Il estime que la désignation d’un mohafez au Mont-Liban nécessite des concertations préalables et qu’il est plus adéquat de nommer à ce poste une personnalité indépendante, sans attache avec un quelconque courant politique. Aujourd’hui, les personnes concernées sont à la recherche d’une autre personnalité qui, d’après les informations qui circulent, serait sélectionnée parmi le corps juridique.