Des observateurs révèlent que le projet de règlement iranien de la crise syrienne repose sur le respect par l’opposition des alliances stratégiques de l’armée avec la Russie, la Chine, l’Iran et les mouvements de résistance arabes. Le départ du président syrien n’y est pas abordé. Par contre des élections présidentielles y sont prévues pour 2014.