«Le général Michel Aoun ne lâchera jamais les rênes du CPL. Il sait très bien que ceux qu’il envisage pour sa succession ne peuvent pas assumer cette responsabilité. En 2009, Michel Aoun avait, par l’intermédiaire de Damas, fait pression pour nommer certains de ses proches à des postes ministériels. Lorsqu’un leader se lie à une puissance étrangère, il en devient l’otage».
Issam Abou Jamra, ancien vice-président du Conseil
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