Au vu du grand succès de leur collaboration écologique, et dans le cadre d’une démarche visant à promouvoir la responsabilité environnementale et à faire progresser la durabilité des ressources naturelles du Liban, l’administration du sanctuaire Notre-Dame du Liban – Harissa et la compagnie Phoenix Energy du groupe Indevco, ont organisé une conférence à Beithania, Harissa, à laquelle ont assisté de nombreuses personnalités de la société civile et des représentants des municipalités du Kesrouan el-Ftouh, de ses couvents, clubs, universités, écoles, hôtels et stations touristiques, ainsi que d’autres parties intéressées.
Durant la conférence, animée par Fady Fayad, les produits de haute technologie de la compagnie Phoenix Energy ont été présentés solennellement, mettant en évidence les caractéristiques écologiques et économiques de l’utilisation de dispositifs d’énergie renouvelable en comparaison des inconvénients d’autres dispositifs fonctionnant sur les sources d’énergie traditionnelles coûteuses et nuisibles. L’apogée de la soirée a été la signature de protocoles de coopération entre la compagnie Phoenix Energy et un groupe de municipalités de la région du Kesrouan, à savoir Ajaltoun, Daroun, Batha, Ghosta et Bzoummar.
Après un mot de bienvenue de l’abbé Younan Obeid, le révérend père docteur Khalil Alwan, membre et recteur de la congrégation des missionnaires maronites, a exposé les avantages de l’utilisation de l’énergie renouvelable. Il a été suivi par le directeur général de Phoenix Energy, Rabih Osta, qui énuméra l’ensemble des avantages du protocole écologique signé entre l’entreprise et Harissa. Le président de l’Association des industriels libanais (ALI) et président-directeur général du groupe Indevco, Neemat G. Frem, affirme: «Nous allons de l’avant vers l’activation de l’utilisation des énergies renouvelables au Liban; ceci dit, les recherches en cours et les implémentations fonctionnelles sont celles qui influencent le plus la progression de cette tendance vers le bien de la société libanaise».
Frem ajoute: «En matière d’énergie renouvelable, nous, au Liban, possédons deux richesses naturelles rares: l’élément humain capable de faire bon usage de la science et de la recherche, d’une part, et les privilèges naturels que nous détenons, tels le soleil qui brille durant plus de huit mois par an, et notre capacité de transformer nos faiblesses en atouts, quand nous convertissons ainsi les déchets en énergie et optons pour la combustion des pellets d’olive, d’autre part…».
Nº 2924 du vendredi 22 novembre 2013
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