Riyad et Jeddah
Parmi les villes
les moins chères
Riyad et Jeddah sont parmi les villes les moins chères dans le monde mesurées en termes de cherté de vie, selon l’’Economist Intelligence Unit (EIU). L’étude se base sur le paramètre de l’inflation du prix du panier de la ménagère au cours des dix dernières années. Les recherches de l’EIU se fondent sur le sous-indice du prix du pétrole. Le prix de celui-ci a baissé à Riyad et Jeddah de 0,24 dollar/litre à 0,13 dollar/litre au cours de la période couverte par l’étude, alors que la moyenne du prix du pétrole à Singapour s’est fixée autour de 1,73 dollar/litre. Singapour a été classée ville la plus chère dans le monde. Riyad et Jeddah ont été
également citées comme des villes ayant une bonne tenue de la valeur de leur monnaie lorsqu’il s’agit du pouvoir d’achat d’autres éléments de base du panier de la ménagère.
Maroc
Les investissements se portent bien
Islamic Corporation for the Development of
private sector (ICD), basée en Arabie saoudite, et le fonds Al Ajial, établi à Casablanca, ont signé un accord visant à investir dans le secteur privé au Maroc. ICD apporte son soutien à ses membres, au nombre de cinquante et un pays, en finançant des projets dans leur secteur privé, alors que le fonds Al Ajial a été créé en 2006 par l’Autorité koweïtienne d’investissement (KIA) afin d’aider au développement économique du Maroc. Khaled el-Aboodi, président exécutif d’ICD, s’est félicité de ce partenariat qui constitue un pas important dans le cadre du plan stratégique d’investissement de l’Autorité dans le royaume chérifien. Il a évité de spécifier la dimension de ce partenariat et les industries dans lesquelles les investissements seraient effectués. Les financements seraient consentis conformément à la charia. Cet accord est intervenu au moment où il existe un réel momentum de la finance islamique au Maroc. Le Parlement marocain a entamé des débats sur une réglementation des banques islamiques opérant sur son territoire et l’émission de Sukuks.