Avec un prix moyen du mètre carré qui varie entre 2 000 et 2 500 dollars au premier étage, les immeubles en construction situés dans les quartiers centraux s’étendant entre Bachoura et Tarik Jdidé sont les moins chers dans le périmètre relevant de la municipalité de Beyrouth. C’est du moins ce qui ressort d’une enquête menée par la société immobilière Ramco, qui a porté sur 382 immeubles en construction. Les appartements les plus chers sont évidement ceux qui se trouvent au centre-ville, avec un prix moyen de 7 647 dollars le mètre carré au premier étage. Ils sont suivis par ceux qui sont en construction le long du littoral avec un prix moyen du mètre carré variant entre 6 000 et 7 000 dollars. A Achrafié, le secteur le plus cher est celui de la tour Rizk et la rue Georges Haïmari, connues pour être le triangle d’or de la région. Le prix du mètre carré au premier étage d’un immeuble en construction y est de 6 000 dollars.
Recettes douanières
-12,8% en janvier
Les revenus douaniers continuent de perdre du terrain, enregistrant un recul de 12,8% en janvier 2014 par rapport au même mois un an auparavant. La valeur des recettes douanières avait totalisé au
premier mois de 2014 près de 118,9
millions de dollars, alors qu’elles s’étaient élevées à 136,4 millions en janvier 2013. Le port de Beyrouth maintient sa position de tête du peloton en termes de volume de collecte des recettes douanières, sa part
représentant 89,8% du total de ce poste de revenus pour le Trésor. C’est l’aéroport international Rafic Hariri qui vient en
deuxième position avec une part de 6,9%, mettant en avant le rôle névralgique que joue le port de Beyrouth au niveau des
opérations d’importation.