Tu es mon territoire
Jusqu’au 24 mai, à l’Institut français du Liban.
Voilà une exposition à quatre mains. Les images de Fanny Seller sont accompagnées des mots de Hyam Yared. Résultat: une réalité retranscrite avec deux prismes de vision. Fanny Seller traite «la temporalité de l’empreinte, la mémoire archéologique du corps, l’identité de l’enfant et la migration ‘évolutive’ de l’image». Elle interroge les lieux et le temps.
Elle redessine les images, les transpose et leur donne une nouvelle vie. Les sujets ne sont plus dans leur contexte, mais révèlent une partie du réel. Fanny Seller travaille actuellement avec la Fondation arabe pour l’image à Beyrouth. Hyam Yared, elle, est poète et écrivain et a remporté plusieurs prix.
C.T.D.
Lena Aydenian
Outburst emotions
Jusqu’au 23 mai, à la galerie Exode
Lena Aydenian n’arrête jamais. Elle regarde partout et s’inspire de tout. Elle tire ses idées de tout ce qui l’entoure. Elle observe également l’âme. Ses toiles sont graphiques, mélancoliques et colorées. «Il lui a fallu toute une vie pour apprendre à peindre», comme elle aime le dire. Aydenian a commencé jeune la peinture et son style a mûri au fil des ans pour arriver à ce qu’il est aujourd’hui. Pharmacienne de formation, elle a toujours eu le goût de la peinture, des couleurs et du symbolisme. Aydenian tient à tout prix à faire passer un message dans ses œuvres et à engendrer une introspection chez celui qui les regarde. A voir.
C.T.D.
Agenda
Jamil Molaeb. A life worth living.
Jusqu’au 7 juin, à la galerie Janine Rubeiz.
Mohamad Almuazin. To sources.
Jusqu’au 17 mai, à la galerie Zamaan.
Hussein Madi, A Boundless Life.
Jusqu’au 8 juin, au Beirut Exhibition Center.
Je te salue Marie…
Jusqu’au 13 juin, à la galerie Alice Mogabgab.
Fathallah Zamroud et Ginane Makki Bacho. Traces physiques.
Jusqu’au 31 mai, à la galerie Ayyam.
Mounira Al Solh.
Jusqu’au 22 juillet, à la galerie Sfeir-Semler.
The age of bronze.
Jusqu’au 31 mai, à la galerie Maqam.
Saoud Abdallah. Spot in memory.
Jusqu’au 24 mai, à la galerie Art on 56 th.
Nikol Aghababian.
Jusqu’au 22 mai, à la galerie Hamazkayin.
Samir Sayegh. Alef in many letters.
Jusqu’au 28 juin, à la galerie Agial.